Catarino atirou-se para a água, confiante que a natureza nele não o deixaria afogar.
( ce qui me rappelle ce pêcheur préparant ses prises pour la vente. Elle étaient suspendues dans l'ombre de la cabane, leurs corps encore mouillés luisaient. Lui qui ne faisait aucun geste inutile, il les lissait du plat des deux mains, de haut en bas. Caresser les poissons, j'ai pensé, voilà une vraie tâche d'homme.)
May 20, 2010
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