Sep 15, 2010

contes de la bioluminescence

Vite, de la fiction avant le désastre. Si l'humanité s'arrête la fiction s'arrête. Par contre s'il reste deux ploucs effrayés dans un supermarché en ruine par une nuit d'orage, elle continue. Suffit d'un rien d'humain pour que la fiction naisse. Elle nous est comme qui dirait inhérente.
Le réel, lu,i ne s'arrête pas. N'a besoin ni de supermarché, ni d'humain. Ni même de vie.

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